Dans des logements insalubres, les familles des quartiers les plus pauvres de Phnom Penh risquent leur vie au quotidien. Nous maintenons donc nos efforts pendant la crise du Covid-19 pour rénover de nombreux logements, dans 2 nouveaux quartiers notamment, et pour soutenir des femmes exposées aux violences domestiques.
Avec des formations à la gestion des budgets familiaux, la constitution de 2 tontines (épargne collective) pour le quotidien ou à investir dans des petits commerces, les groupes de femmes améliorent les liens sociaux et la cohésion dans ces zones fragiles.
Enfin, nous venons de réaliser et publier une étude d’évaluation de la 1ère politique de logements sociaux de l’État cambodgien. Nous y formulons des recommandations pour résoudre la crise du logement à Phnom Penh. Ces travaux sont poursuivis jusqu’à la fin de l’été 2020, avec 2 autres ONG, pour proposer des modèles financiers, légaux, environnementaux.
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> Lire notre article : Les hommes impliqués contre les violences faites aux femmes au Cambodge, avec la méthode GALS
> Lire le témoignage d’une femme soutenue avec la méthode GALS
21 avril 2020